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*L'UFC-Que choisir craint une "déferlante" de crédits*

Publié le 17/12/2020 à 09:45 par lesechosducastellet Tags : google infos sur nature pouvoir
*L'UFC-Que choisir craint une "déferlante" de crédits*
L'association de consommateurs UFC-Que Choisir appelle l'Union européenne à obliger les banques à proposer plus rapidement des mesures de restructuration à leurs clients, face à une augmentation attendue en 2021 des défauts sur les crédits à la consommation, dans un communiqué mercredi.

"Face à la déferlante attendue des difficultés de remboursement des crédits à la consommation", explique l'UFC-Que Choisir mercredi dans un communiqué, elle "appelle les législateurs européens à contraindre les banques à proposer une mesure de restructuration dès le deuxième incident de remboursement et, en tout état de cause, avant la cession éventuelle d'un crédit douteux".

Selon ses calculs, "les crédits conso en défaut pourraient, selon nos estimations, dépasser les 12 milliards d'euros (+40%) en 2021", poursuit l'association, pour laquelle "les établissements de crédit ont une responsabilité majeure dans la gestion de ces impayés, afin d'éviter que les emprunteurs ne basculent dans le surendettement".

En outre, ils "doivent d'urgence leur proposer des solutions pérennes" car "les moratoires accordés au printemps sont, pour les deux tiers, arrivés à échéance en novembre", explique encore l'association.

Elle redoute en outre la nature du plan d'action que doit présenter la Commission européenne "pour purger les bilans des banques de leurs crédits +pourris+".

"Loin de chercher à remédier aux pratiques de distribution trop risquées ainsi qu'à la mauvaise gestion bancaire des difficultés de remboursement de leurs clients, il entend faciliter leur revente à des sociétés de recouvrement!", dénonce l'UFC-Que Choisir, dont les associations locales "témoignent déjà d'une explosion des plaintes en raison du manque de garde-fous aux pratiques agressives des sociétés de recouvrement".

De son coté, la Fédération bancaire française souligne que "les banques sont engagées à accompagner les clients dans leurs projets, et ne partagent pas les constats alarmistes" de l'UFC-Que Choisir", selon une réaction transmise par courriel à l'AFP.

Notamment, "les indicateurs permettent de montrer que les taux de défauts sont bas, comme l'ont d'ailleurs confirmé les autorités récemment, et que, même dans les circonstances actuelles, les risques sur les crédits aux particuliers évoluent très peu. Les banques sont extrêmement attentives sur ce point, et sont mobilisées pour prévenir la montée des difficultés et faire face ensemble", fait valoir la fédération.

Elle insiste sur le fait que "les banques prêtent de manière responsable" et qu'elles n'ont "aucun intérêt à voir leurs clients ne pas pouvoir payer".