
> Ça fait 4 ans jour pour jour, c’était le 19 octobre 2021, la Cour d’Appel d’Aix-en-Provence avait prononcé son délibéré et a déchu et condamné plus lourdement Ferdinand
Bernhard alors maire en exercice.
Un procès en Appel suite à une lourde condamnation prononcée par le Tribunal Correctionnel de Marseille où la présidente avait tenu en préambule à motiver les condamnations à l'encontre de Ferdinand Bernhard ex-maire maintenant déchu et définitivement reconnu coupable par la Cour de Cassation pour la commission de cinq infractions de probité publique notamment pour des faits de détournements de fonds publics commis au préjudice de la Commune.
De prises illégales d’intérêts.
De favoritisme.
Rappel de la décision du Tribunal correctionnel de Marseille du 7 septembre 2020 :
Etaient présent ce jour, celui qui a été déchu depuis et une partie de son équipe, absente pendant les 3 jours d’audience mais qui abreuvée de faux espoirs d’acquittement ont assisté à la chute, était également présent le photographe officiel de la mairie prêt à immortaliser cet instant historique.
La séance est ouverte, la Présidente prend la parole :
« Il ne suffit pas d'assurer la prospérité des communes, leur équilibre financier ou leur sécurité. Il faut également assurer que nul ne profitera de pouvoirs acquis par la démocratie pour s'arroger de prérogatives, ou détourner la loi à son profit ».
« Aux yeux du tribunal », a indiqué la Présidente de la chambre correctionnelle Céline Ballérini, « l'examen rigoureux des faits, la multiplication des infractions reprochées à Monsieur Bernhard laissent apparaître une dérive évidente et inacceptable de la part d'une personne dépositaire d'un mandat électif ».
Depuis ce jour du 7 septembre 2020, Ferdinand Bernhard n’a cessé de se débattre au cœur d’une tempête judiciaire du Tribunal Correctionnel de la Cour d’Appel et de la Cour de Cassation,
toujours le même résultat et reconnu définitivement coupable par la Cour de Cassation pour détournement de fonds publics au détriment des contribuables Sanaryens par la plus haute juridiction.
Aucune communication, explication, aucune excuse de celui qui soi-disant gérait « en bon père de famille » nos impôts.
Aucune communication de sa « famille » politique, ses élus qui ont validé, encouragé par leur silence et leur lâcheté les dérives de cet individu.
Mais il y a pire.
Encore aujourd’hui ils affichent aux yeux de tous ce soutient malsain sans faille à celui qui nous a trompé, menti et volé.
Ses élus de papiers osent mettre aux services d’un délinquant notoire les moyens humains, techniques et financiers de la mairie.
Sa présence qui dépasse le caractère privé, tolérée par la première adjointe dans un espace clos et réservé aux officiels lors du feu d’artifice commémorant la libération de Sanary est scandaleuse.
Et régulièrement la gazette municipale financée à grand frais d’argent publics n’hésite pas à citer en exemple le parcours « d’un homme exemplaire » Cette perfidie n’est elle pas la preuve non plus d’une complaisance mais d’une complicité affichée et assumée ?
Pour sauver une cause perdue d’avance, l’honneur d’un voleur au valeur de notre démocratie, ils sont prêt à perdre la seule et dernière chose qui leur reste, leur propre honneur.
Ils tournent le dos à l’avenir de notre ville.
Ils sont la preuve vivante qu’il est impossible de faire du neuf avec du vieux.
Apparemment le déchu, l’actuel officiel représentant imposé à la mairie et sa clique ont la même mémoire courte.
« La bêtise ne comprend pas, la sottise comprend de travers. »
Recueilli par J.B